Le portable des années 1900, l'e-mail avant la lettre, c'est la carte postale. D'un coût modique, elle est fiable, sûre. Qu'elle représente une rue, un petit métier, une scène pittoresque, un commerce ou un groupe, la vulgarisation de la photographie est à l'origine de cet engouement. Ces millions de vues nous renseignent sur l'habitat, les conditions de vie, l'habillement, le commerce...

samedi 16 juin 2012

Tours : la brocante de la place de la Victoire (2)


J'avais déjà montré des cartes postales de cette brocante (au tout début XX°) dans un précédent billet. Mais là, Tinou grâce au concours photographique de Paul Martinaud, nous fait partager de biens belles photos de Tours dans les années 70, dans une série appelée l'âme du vieux Tours.

Des vies, des atmosphères, des gueules, ... :







Ce n'est pas du Cartier-Bresson :



Ni du Doisneau :



C'est du Martinaud !

Tinou prépare un livre de ces photos pour la fin de l'année.


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