Le portable des années 1900, l'e-mail avant la lettre, c'est la carte postale. D'un coût modique, elle est fiable, sûre. Qu'elle représente une rue, un petit métier, une scène pittoresque, un commerce ou un groupe, la vulgarisation de la photographie est à l'origine de cet engouement. Ces millions de vues nous renseignent sur l'habitat, les conditions de vie, l'habillement, le commerce...
La playmate est tourangelle !
En novembre 1985, sous le mandat de Jean Royer, le magazine Playboy nous présentait Nathalie Maline (ancienne élève de l'institution Marmoutier) dans pas moins de 12 pages et avec le poster qui allait avec !
coquin
RépondreSupprimerEt l'autre là ! Tu regardes jamais les filles quand t'es en terrasse à ton bistrot Plum' préféré ?
SupprimerJe n'eus pas le plaisir d'avoir ce numéro entre les mains (ou plutôt dans la main, comme aurait dit le bon Jean-Jacques Rousseau...), mais je me souviens fort bien que La Nouvelle République, qui, déjà, ne reculait devant aucun travail d'investigation, avait fait à l'époque une interviouve de la demoiselle (laquelle, soit dit en passant, si j'en crois sa fiche signalétique trouvée sur le ouèbe, avait mon âge – et dont je pense, comme dirait l'autre, que c'est pour elle toujours le cas –, observation qui, j'en conviens, est vraisemblablement pour vous d'un intérêt très relatif mais me plonge malgré tout dans un vertige insondable à l'idée que j'aurais sans doute pu être, à quelques mois près, son voisin de berceau).
RépondreSupprimerJe me rappelle, de même, que Le Magazine de la Touraine s'était lui aussi fait l'écho de cet important événement (qui, cela étant, tranchait quelque peu avec ses traditionnelles histouées de cheu nous à base de drôliaux et de drôyiées).
Merci de la visite et de m'avoir fait marrer. Ça fait du bien. Bon, je vais prendre l'apéro et me replonger dans ce vieux Playboy de nos 20 ans.
SupprimerAvec ce billet, tu fais d'une pierre deux coups : Je ne savais pas que Nathalie Baye était tourangelle et qu'elle avait posé dans Playboy...
RépondreSupprimerDadavidov plaisantait, certes, toutefois, quand bien même Wikipédia affirmerait le contraire, Nathalie Baye ne pourrait pas être tourangelle car, dans Arrête-moi si tu peux, elle prononce « Monrichard » pour « Montrichard », comme on dit « Montrouge » ou « Montréal ».
RépondreSupprimerEt ça, inutile de dire que ça ne trompe pas.
Pour revenir à Dada, on l'aime aussi pour ça.
Supprimer